La maison de Gladriel, Cael et Mélusine

Mon cher Gueldnard,

Je viens ici te dire mon chagrin de te voir quitter Bourganeuf car

tu vas me manquer et j'espère bien que tu tiendras ta promesse

de revenir une fois par mois.

Tu es dans un coin de mon grand coeur et je pleure ton départ

Tu as toujours été là pour les bons moments et mais aussi dans

les mauvais.

Je te souhaite une bonne route.

Je te fais pleins de gros bisous

Ta bichou

L'oiseau deploie une derniere fois ses ailes avant de se poser sur le rebort de la fenêtre. A la patte, le traditionnel ruban bleu enserrant une petit mot.

Citation :

Mon ange,

je reviens bientôt,

Les jours qui me sépare de ma maison ainsi que de toi s'amenuisent.

Je force le pas afin de te retrouver au plus vite.

Prepare les encriers car on va en avoir besoin je pense^^

Je t'embrasse

Arami

Gladriel était assise par terre..Un oiseaux arriva vers la fenêtre...Elle ne le vit pas tout de suite...Elle avait été anéantie par la nouvelle du départ de Gueld...Elle n'en revenait pas. Elle savait qu'il devait partir mais au fond elle se dit qu'il ne le ferait pas.

Au bout d'un moment, lasse, elle prit le message du pigeon et quand elle vit que c'était son ange qui lui écrivait elle sourrit...Un part, l'autre s'en vas...Elle ne put s'empêcher un sourrire quand il parla "d'encrier"...

Mais elle ne voulait pas qu'il parte, elle ne voualit pas...

Gladriel concentit afin à répondre.

Citation :

Bonjour mon amour,

J'attends ton retour, toute la peinture et prête!!Ca vas être du coloré!!
Sérieusement je commence à vraiment être seule!!!Il est temps, reviens mon amour!!Tu me manque trop et je te jure dès que tu reviens je te recouvre de couleur.

Je suis triste sans toi, triste du départ de gueld, triste de tout...

Je t'aime!!Les tavernes me manque sans toi!!! tes connerie me manques!!

Reviens!!!

je t'aime
Gladriel

Elle ne savais quoi dire à part reviens. Le temps lui semblait vraiment trop trop long. Elle n'attendait que son retour.

L'oiseaux s'envola.

Enfin la petit masure en vue, il marche de plus en plus vite. Serre sa belle devient une nécéssité, cela fait trop longtemps.

Avec son joli petit bouquets de fleurs fragiles, il pousse la porte de la batsse et se retrouve dans la petite piece de sejour ou il decide d'attendre sa belle

La jeune femme attendait dans sa chambre assise sur le lit en train de penser...Plus rien à faire, plus de ménage, plus de corvées, rien, niette...Alors penser ça occupe.

Elle était complèetement perdue quand un bruit arriva faiblement à ses oreilles. Puis elle fut soudain prise de peur...

_Mais qui est rentré?

C'est alors l'épée à la main qu'elle décendit tremblante les escaliers...Mais quand elle fut en bas...Elle jetta l'épée à dorite et se mit à sauter dans les bras de la personne en face d'elle.

_ARAMI!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Une joie l'envahie, lui tirant les larmes des yeux...le fait de retrouver un être chere, quelque chose d'inqualifiable...

Il la oit descendre, d'un pas hesitant, l'arme au poing. Elle est la toujours aussi belle. Il s'avance un peu et elle lui saute dans les bras.

Les quelques fleurs qu'il avait chapardé tomberent sur le sol. Malgres les courbatures qui le tenaille il tient bon sans sciller.

IL passe ses mains autour de la taille de sa belle, ses yeux s'illumine. Lentement, une main remointe pour aller degager le front de sa belle. Il y depose un doux baiser

Fussent il que je parte pour me rendre compte que je ne pouvait plus vivre sans toi!

il se penche et lui souffle à l'oreille

je t'aime, je n'aime que toi, je t'appartient de toute mon âme.

Son sac tomba sur le sol dans un fracas énorme. Il prend sa belle et il va vers....

Elle le serre de plus belle. Il est là! Il est enfin là! Comme si c'était un rêves elle ouvre les yeux pour être sur qu'il est vraiment là...Les larmes aux yeux, soulagé, soulagé de revoir, soulagé de savoir qu'elle n'aurait plus à avoir peur.

Quand il lui parla, son coeur s'embrasa, c'était sa voix! Elle qui lui avait réchauffé le coeur, il était là.

_J'ais arrêter de vivre quand tu n'étais pas là...je ne peux pas vivre sans toi!!

Je t'aime, je t'aime mon ange!

Elle l'embrasse alors, juste sentir ses lèvres, se dire qu'elle n'est plus seule maintenant!

Le soleil, en ce milieu d'apres midi, était au rendez-vous, chaud et lumineux. Le paysage dehors était calme mais une certaine agitation rêgnait au numéro 16.

La jeune femme courait dans la maison, reunissant des affaires, plus par énervement que par manque de temps. Gladriel rageait et rentrait nervesement des boules de linges dans un sac. Elle marmonait depuis un bon moment dèjà, et maudissait l'élus de son coeur.

_Lundi...lundi...Y peux pas prévenir plus tot!!!Ahhh mon dieu ses hommes! Aucune organisation! On vis ensemble mais je ne connais rien de ses plans!!

Elle venait seulement d'être pévenu du départ de son ange, et comme il était hors de question de l'attendre gentilment ici, elle avait décidé de le suivre...Et il fallait se préparer.

En tout cas elle se promit que qu'en Arami passera le seuil de cette porte il allait l'entendre!!

le numero 16 est enfin en vue. L'homme, le visage barbouillé et les quelques vetements qu'il porte sont recouvert d'une couleur noire crasseuse.

Arami franchi le santier qui le sépare de chez lui avant de pousserr la porte de la maison ou la belle s'affaire à des preparatifs dont il ne comprenait pas vraiment le sens.

Un peu étonné il laisse s'échapper ces quelques mots:

Point besoin de tous cela!! ils nous suffit juste d'un peu de nourriture et d'un linge ou deux pour le voyage.


Il vit sa belle exaspèrée, et une fois de plus elle est merveilleuse. Sa beauté n'a d'égale que sa bonté.

Laissant la bête tomber lourdement sur le seuil il lui tient:

Mon amour...

Voyant l'énervemant qui agite sa belle


je les ferai toutes, tu le savais non, toutes!!!

Laissant un bref instant à sa belle, il lui annonce qu'il va dans le cellier afin de depiauter la biche et de préparer les vivres utile au voyage.

La porte se fit entendre, Gladriel se tourna.

_Tiens...

Arami était là, enfin...Elle n'eut pas le temps de prendre la parole qu'il lui parla de ses bagages. Elle leur jetta un coup d'oeil et ne répondit pas. Puis il continua.

_Pour me les faire toutes tu me les fera décidement toutes! Je ne m'étonerait même plus de voir notre maison brûler!

Puis se contenant.

_La seule chose dont j'ai horreur c'est le manque d'organisation et les imprévus...J'aime prendre mon temps!

Puis fixa son amour, se perdant dans ses yeux bleus elle ne réussit poas à rester fâcher longtemp...juste contrarié.
Il lui dit qu'il allait s'occuper des vivre, elle hocha de la tête.

Gladriel de son côté finit les bagages. Elle regarda un moment chaussette. Le petite chatte la regardait d'un air interrogatif. La jeune femme la prit dans ses bras.

_On ne pourra pas t'emmener...

Puis tristement elle s'avança vers le cellier et entrouvrir la porte. Si elle n'entrait pas c'est parce qu'elle ne voulait as voir Arami en plein travailde boucher...Elle parla d'une voix assez fort.

_On pourra mettre des sacs sur Mirabelle, parce que, bien sùr, elle vient avec nous. Elle brosser, il ne faudra plus que la seller et la brider. Par contre, on ne pourra pas emmener Chaussette...Les chats ont horreur du changement, et j'ais trop peur qu'elle ne suporte pas le changement. Je vais aller voir Gueldnard...

Sur ses mots et ferma la porte et se dirigea vesr la cuisine. Elle y déposa Chaussettes dans un panier, y mit quelque affaire et écrit une lettre au cas ou Gueld ne serrait pas chez lui.

Puis la jeune femme sortit dans les rues de Bourganeuf.

La jeune femme était rentré. Elle avait laissé Chaussette au bon soin de Gueld et espérait que celle-ci ne fasse pas trop de bétises et qu'elle ne lui en voudra pas de l'avoir laissé.

Elle se dirigea vers l'écurie, et sortit la belle percheronne.

_Allez ma fille on part en voyage!

Elle carressa la jument et la sella de suite, l'ayant brossé avant. Elle l'attacha à un anneau et entra dans sa maison. Arami devait être encore occupé et elle en profita pour charger le cheval. Elle avait peu de sacs, ainsi elle pourrait aussi porté un cavalier, de plus que les percherons sont des chevaux bâtit pour le travail et doté d'une force extraordinaire mais se qui en fait leur qualité c'est leur caractère docile et leur coeur d'or.

Elle flatta l'animal et rentra dans la maison. Elle monta à l'étage pour se changer. Hors de question de porter une de ses fouttu tunique. Elle opta pour une robe ample et qui ne trainait pas par terre.

Elle observa la chambre...tant de souvenir...Puis elle déscendit, admira une dernière fois toute les pièces et attendit son ange près de la jument.

_Tu vas me manquer Bourga...

Les deux jeune gens avançait sur deux chevaux côte à côte à travers la ville chère à leurs coeurs. La jeune femme prit la main de son compagnon et repira l'air de Bourganeuf à s'en faire eclater les poumons... Ils étaient revenus! La belle bourganeuf... Gladriel avançait encore vers l'extrémité de la ville et enfin elle dicerna la petite maison avec sa grange. Elle sourrit et accéléra le pas de sa monture.

Ils arrivèrent enfin devant la batisse et la jeune femme sourrit. Elle décendit de la grande Mirabelle qui n'attendit pas pour brouter l'herbe à ses pieds. Elle déchargea la jument de ses bagages et elle la déharnacha... Elle lui donna quelque friandise puis la laissa brouter en liberté autour de la maison de toute façon elle n'ira pas bien loin.

Puis elle ouvrit la porte de la petite maison... Son regard parcoura la pièce, rien n'avait changé, c'était leur petite maison à eux... Souriante, elle aida Arami à ranger leur affaires.

Rasta arrive ne courant devant la porte de la maison!

Il tambourine et appelle:

Aramiiiiiiiiiii!

Rapho et Testie ont besoin de toi!

Dépêche!

La jeune femme, occupé à ranger quelque babioles, sursauta violemment quand elle entendit des coups furieux contre la porte. Elle entendit hurler et vit Arami sortir en courant.

Gladriel fut complètement dérouté et resta planté comme un poireau devant une porte grande ouverte. Au bout de longue minute de silence, elle posa ce qu'elle avait dans les mains et sortit de la maison. Rasta avait parlé de Testie et Rapho. La jeune femme ne sut pourquoi Arami avait été appelé comme çà, mais ça avait l'air urgent. Gladriel se dit alors que, bien que ne savant ce qui se passait, une personne de plus pour aider ne serrait pas de trop.

Ne sachant où les personnes était partie elle se dirigea instinctivement vers la maison de Rapho.

La nuit était là et c'est seulement à cette heure que Gladriel rentrait. Elle ouvrit la porte et soupira en ne voyant pas Arami qui l'attendait. Elle déposa le panier à terre et prit doucement Chaussette qui dormait à l'intérieur pour la mettre sur le fauteuil. Après une ou deux carresses, la jeune femme monta à l'étage. Elle poussa doucement la porte de sa chambre et fut triste d'y découvrir le lit vide. Depuis qu'Arami était maire elle ne le voyait pas beaucoup. Il partait tôt le matin, revenait tard le soir. Tout en se changeant pour mettre une robe de nuit et pensant quand était la dernière fois où il était vraiment ensemble.

Tout d'abord, se fut la guerre qui les sépara. Quand il revint, ils partirent tout de suite en voyage et à cause de quelque inconvénients, elle avait essentielement voyager avec Cameligna et Rasta. Puis quand ils revinrent Arami devint maire!

C'est alors avec mélancolie qu'elle se coucha dans le lit vide.

La jeune femme fut réveiller par les bonds répétés de la "douce" Chaussette. Gladriel ne pourra décidément pas profiter de cette belle journée pour faire la grasse matinée. Elle s'assis alors sur son lit et fut assaillit par les bonds plein d'amour de la Chatte grise. Ce n'est pas qu'elle n'aimait pas cette démonstration assez excessive d'amour mais de bon matin quand on est pas réveiller c‘est assez brutal!!

Enfin bon, quand la jeune femme descendit suivit par la fidèle Chaussette et était bien réveiller. Elle prit son petit déjeuner seule et alla s'occuper des bêtes. Puis ne sachant pas trop quoi faire elle se plongea dans ses paprasse. La jeune femme aimait le dessin et c'est comme çà qu'elle occupait "les trous" de ses journées. Impossible de travailler tranquillement avec l'incorruptible Chaussette qui déambulait sur la table. La jeune femme arrivait quand même à faire quelque chose malgré la boule de poile qui regardait intensément le bout de la plume bouger ou le bout de charbon bouger avant de mettre un coup de pattes dedans.

Toute les feuilles représentaient des dessins de chevaux où des plans de battisse toute plus grande les une des autres. Gladriel rêvait d'ouvrir une écurie où elle pourrait y faire de l'élevage, dresser des chevaux pour le voyage et même pour le spectacle. Ouvrir une écurie était certes un grand travail mais la jeune femme ne perdait pas espoir. Elle avait réussis à économiser assez pour s’acheter un autre cheval. De plus que la taille de l’étable permettait dans accueillir un autre. Elle allait régulièrement chez les maquignons à la recherche d’un étalon et en connaisseuse, Gladriel était assez difficile.

La jeune femme posta un mot sur la porte au cas ou quelqu'un voudrait la voir, pour qu'il soit prévenue.

Citation :

Gladriel est en retraite jusqu'à ce Samedi 4 Août
Arami est sans doute à la Mairie

C'était un bel après-midi qui commençait, le soleil réchauffait les corps sans en être accablant. La jeune femme arriva devant la porte de bois et enleva le papier qui y était accroché. Gladriel regarda sans grand espoir les fenêtres dont les volets étaient tirés. Elle ouvrit la porte et c'est sans grande surprise qu'elle trouva la maison vide... Mais que faisait Arami? Pourquoi ne venait t'il plus?! Lasse, elle déposa son baluchon sur le sol et constata que Chaussette était sortit. Elle fit le tour de la maison, ouvrit les volets et les fenêtre de l'étage. Puis elle prit une bourse qui était dans son coffre. La jeune femme sortit pour aller à l'étable.

Elle ouvrit les grande porte, laissant entré la lumière. La grange rectangulaire possédait deux grand paddock, celui de gauche contenant la jument et celui de droit les cochons. Gladriel se dirigea vers cette première et elle la pansa longuement avant de la seller. Puis elle l'enfourcha et prit la direction du marché.

La jeune femme fut soulagé quand elle vit la maison si familière si dessiner devant ses yeux car elle commençait sérieusement à avoir du mal à diriger l’étalon qu’elle tirait en longe depuis le marché. Mirabelle semblait elle-aussi soulagé.

Arrivé devant la porte, Gladriel mena l’étalon dans le paddock qu’elle allait ensuite séparé par trois planche qu’elle allait cloué contre les deux pilier de bois qui , heureusement, se tenaient l’un en face de l’autre; respectivement contre le mur et au milieu de la barrière.

Laissant le cheval là, elle sortit pour déharnacher sa jument. Elle avait due se débrouiller pour mettre les deux selles sur mirabelle, ne pouvant mettre celle qu’elle venait d’acheter sur le jeune étalon. Elle rangea tout cela ainsi que les étoffes sur la table de la cuisine et elle laissa Mirabelle en liberté autour de la maison.

Retournant dans l’étable, Gladriel se munit de trois longues planches de bois, d’un marteau et de clous pour la séparation du paddock. Elle s’installa dans ce qui deviendra deux box, croyant que l’étalon allait rester tranquillement dans un coin tandis qu’elle travaillerais mais Gladriel se trompait royalement. Visgrade, l’étalon, trottinait, queue en panache, naseaux frémissant et encolure longue dans l’enclos, passant par dessus les planches et dans le dos de Gladriel s’en pour autant éviter de la bousculer. Malgré l’exaspération dont elle était sujette, elle ne put s’empêcher d’admirer la beauté de l’étalon. Sa robe d’un isabelle lumineux et son pas dansant était un régal pour les yeux.



*

Gladriel avait enfin cloué une extrémité de la planche, elle avait enfoncé un trou dans la deuxième extrémité, la faisait tenir contre les poutres. Elle regardait l’étalon d’un air triomphant.

_Tu fais moins le malin, Visgrade! Maintenant que tu n’as qu’un box!

Comme pour la contredire, malgré que l’espace ne lui en permettait pas réellement, l’étalon réussissait à brasser.
Gladriel allait enfin enfoncer un deuxième clou que Chaussette fit son apparition. Elle sauta, comme à son habitude, la barrière de bois, atterris avec souplesse dans la paille et allait grimper sur le dos de Mirabelle qui faisait d’ordinaire sa sieste quand elle n’eut que le temps d’esquiver le sabot d’un cheval qui ne faisait que parader. Dans un miaulement rauque, la boule de poils sauta par-dessus le boxe et dévala, effrayer, les quelque mètre qui la séparait de l’extérieur.

_Chaussette!!! Oh Chaussette!!!

Quand Gladriel réussit à la rattraper, elle la prit dans ses bars et tenta de la calmé.

_Ma pauvre Chaussette, il faudrait t’y faire, on a un fou à la maison! Viens, je vais t’emmener vers Mirabelle.

La jeune femme rejoignis la percheronne quelque mettre plus loin qui broutait paisiblement. Quand Gladriel lâcha Chaussette, celle-ci se réfugie sut le dos de la jument en lui grimpant sur l’encolure. La jeune femme fit demis tour quand soudain un grand bruit de craquement se fit entendre. Elle se mit à courir comme une folle vers la grange et fut stopper net dans son élan. La planche de bois qui séparait l’enclos en deux box était casser en deux. Visgrade la regardait du air stupidement innocent.

Dépité la jeune femme enleva les bout de planche pulvérisé par l’étalon, qui lui, n’avait aucune égratignures.

*

En fin d’après midi, la jeune femme avait finis la séparation. Il fallait crée une porte dans les deuxième box qui devait contenir Mirabelle mais aujourd’hui, elle n’en n’avait pas la force. La jument, se soir dormirait en liberté dans la grange. La jeune femme fatiguer, exténuer, crever, s’assit sur une haute botte de paille qui traînait par là…

Ce matin, Gladriel se leva très tôt et surtout du bon pied. Elle avait vue Arami la veille et elle avait enfin put passé une nuit avec son compagnon.

Après les tâche habituelles du matin, la jeune femme décida de s'occuper de la porte du boxe. Quand elle ouvrit la grange, elle découvrit Mirabelle allongé dans la paille que lui avait mit Gladriel, Chaussette dormait sur son dos.

_Bonjour ma belle! Comment sa va aujourd'hui?

Elle alla caresser la jument et lui fit un bisou sur le nez. Puis elle se dirigea vers le box de Visgrade. A son arriver, l'étalon se leva subitement. Gladriel tendit la main vers lui, mais il l'ignora.

_Une vrai tête de mule... Ca va être marrant à le débourrer celui-là!

Ignorant à son tout le cheval isabelle, elle alla chercher une scie. Il fallait qu'elle coupe le bois de façon à faire une porte assez large. Les percheron ne sont pas des chevaux de petit gabarit! C'est alors à la force de ses petit bras de femme qu'elle s'attaqua au bois.

Gladriel avait tout de la petite bonne femme. Elle faisait toute les tâches ménagère de la maison et cela ne lui déplaisait pas, elle aimait tout ce qui touchait de près ou de loin à la poésie, considérant que le dessin peut être de la poésie. Enfin, elle n'était pas faite pour se genre de travaux elle arrivait tout juste à labourer son champs. Mais ce qui la sauvait c'était sa détermination. C'est pourquoi, après avoir créé une entaille dans le bois, Gladriel cria victoire, faisant sursauté les cochon et Mirabelle qui venait de refermer les yeux.

S'aidant de toute la force de ses petits bras et de tout son corps elle réussis créer une entrée dans le box. Le soleil indiquait déjà la mis-journée.

*

Après un petit repas, la jeune femme revint à la grange. Mirabelle état sortie avec Chaussette et Visgrade s'énervait ne pas pourvoir aller dehors.

La jeune femme clou deux piquet, verticalement, aux cotés de l'ouverture. Elle ne fermera le box qu'avec une corde. Mirabelle n'était pas fugueuse et elle était calme... Et surtout, Gladriel ne voulait pas se lancer dans la création d'une. Ce n'était pas compliquer mais quand même!
*
Satisfait la jeune femme décida alors de travailler la jument grise avait de s'occuper de l'étalon.

Elle prépara Mirabelle et elle se munit d'une longue cravache. Elle se mit en selle et commença à détendre la jument en la faisant marcher au pas et au trot.
A cheval, Gladriel cherchait bien plus que l'obéissance de son cheval. Elle cherchait une certaine finesse qu'elle pouvait s'associer à la complicité qui lié Gladriel et Mirabelle.

Elle avait vu comment l'on débourrait les jeune chevaux, surtout ceux choisis pour la guerre. La violence était telle, que les chevaux, au lieu de "donner" ce que le cavalier souhaite parce qu'il le veut, il se résignait sous les assaut de la main brutal de celui qu'il portait. Il en perdait toute docilité et toute confiance en l'homme.
Gladriel ne voulait pas de cela, elle préférait les actions de main discrète, et cherchait l'élégance des allures. Mirabelle n'était ni un cheval de voyage, encore moins un cheval de guerre! C'était un cheval de compagnie et même de spectacle. La jeune femme cherchait des allures relevés, une encolure arrondie... Tout cela elle tentait de le demander sans brutalité. A force d'observer les chevaux et leur comportement elle s'avait leur apprendre et leur demander n'importe quoi... Il fallait seulement de la patience et du travail...


Elle avait attaché Visgrade, à un anneaux de l'un des mur de la grange, assez long pour qu'il puisse brouter l'herbe qui s'y trouvait. Au lieu de celà, il piaffait nerveusement et paradait devait la jument, qu'il appelait par de petit hennissement...

Gladriel finit de travailler Mirabelle, qui savait maintenant marcher latéralement, se que Gladriel appelait: déplacement latéraux tout simplement...

Elle descendit de mirabelle et la bouchonna longuement... Maintenant elle allait s'attaquer à Visgrade...

Alors que la nuit tombe sur la ville paisible et endormie, une ombre se déplace dans la ruelle qui descends vers le sud.

Une patrouille s'engouffre dans une rue parallèle avec le fracas des bottes cloutées sur le pavé meurtri par des années de passage. Quelques odeur de brulé flotte encore dans l'aire, les traces de l'incendia à laissé ses marques sur les murs de la villes.

L'homme s'arrête devant une petite mansarde affublé d'une petite étable. Le feu de la cheminée rougeoit au travers des lourds volets . Cela fait maintenant plusieurs jours qu'il n'était pas rentré chez lui car sa nouvelle tache lui accapare beaucoup de temps. Depuis quelques temps il assistait le comte dans la gestion du limousin et pour ce faire il avait pris place au chateau de la ville afin d'y faire l'intendant. Ces responsabilités, plus le temps que lui demande ses cochons et son champs de blé l'ont poussé a découché.

Il avait délaissé quelques peu celle qu'il aimait. Pourtant il n'en aimerai d'autre et c'est avec l'indignation dans le regard qu'il rejoins sa douce dans la petite maison ou ils vivent un bonheur indefinissable.

Un rosier se langui le long de la porte et retombe sur un porche en sapin. D'une main sur il pince une courte tige au bout de laquelle , se jouant du vents avec ses doux pétales, une rose se pavane. L'épine se trouvant sur la tige a l'endroit même du crime s'enfonce prodondément dans la chair. Il lui fallait meurtrire la chair de l'argresseur, il ne faut pas que ce derniere recommence. Le petit bout de bois, bien enfoncé ce casse, la blessure est faite. La plante souhaite l'infection. Malheureusement, ce n'est qu'une petite épine dans un doigt dont la peau cailleuse ne bronche même pas sous l'attaque.

L'homme porte les parfums de la fleurs a son nez, les humant lentement. Le bonheur n'est il point la? ce dit il. Aimer sa belle et la cherire jusqu'au bout, laissant les agitations du monde s'évanouir. Sa belle n'est elle pas comme cette rose si belle et si terrible?

Des cliquetis! la releve de la garde sur la porte de la ville non loin le sort de ses pensées. D'un geste il pousse la porte avant de se glisser à l'interieur de la maison. Quelques ombres , poivrot ou soldats se presse dans les rues déserte de cette fraiche soirée d'été.

Le feu illuminait la pièce de sa lueur chaleureuse. Le chat sur les genoux, les yeux dans les flammes, la jeune femme ne pensait à rien. De temps à autre elle jetait un regard à la fenêtre, derrière elle, par habitude, par attente... On entendait au loin l'agitation de dehors, et tout près et rassurant, le bruit des flamme crépitant dans la cheminée ainsi que le ronronnement du petit félin endormie.

Gladriel caressait Chaussette, souriante, contente de savoir que son petit chat était bien. Puis elle regarda la pièce autour d'elle. Il y avait tout ces points repères, tout ces souvenirs mais il manquait la vie de cette maison, comme un soleil disparue dans un petit matin d'été. La jeune femme soupira, cette solitude lui pesait. Elle fut heureuse d'être entouré d'animaux, elle aimait énormément certes, mais ce qu'elle aimait le plus n'était pas là.

Perdue dans ses pensées, elle entendit, comme dans un rêves ou un son qu'on imagine, une porte s'ouvrire. Elle ne bougea pas croyant au fruit de son imagination mais quand des bruits de pas se firent entendre, timides, Gladriel leva la tête. Sans se retourné elle se leva en déposant Chaussette sur le fauteuil. Puis dans un espoir vivace elle se retourna pour voir qui était celui qui était entré.

Quand elle reconnue l'homme elle ne put s'empêcher de sourire, et son coeur se fit moins lourd.

[ Gladriel sera absente du 18 août au 1 septembre ]

La nuit avait absorbée la ville et elle déversait sa fraîcheur habituelle. La lune et les étoiles éclairaient les chemins, là où le feu ne brûlait pas.

La porte de bois se montra enfin, et en quelque tour de clefs, la serrure s'ouvrit pour laisser passer les deux personnes. Arrivé dans la maison, Gladriel alluma plusieur bougies ainsi que le feu dans la cheminée pour y voir plus clair dans la pièce.

_Installe-toi sur le fauteuil Flavien... Tu veux boire quelque chose? Je n'ais que de la tisanne... Non attends, il me reste du laid que je peux te faire chauffer si tu veux...

Tout en attendant la réponse du garçon, Gladriel enleva sa cape.

_Mets-toi à l'aise. Fais comme chez toi!

Chaussette, la petite chatte grise fit son aparition dans le salon, sortant de la petit cuisine. Le chat se dirigea vers l'inconnue et le regarda d'un oeil perplexe.

_C'est Chaussette! Un petite chatte que Cameligna m'a donné! Elle est gentille et très joueuse!